Marchant seul dans un grand champs de blé, je sens un vent doux et chaleureux frapper ma peau, je marche en solitaire avec une boite dans les mains, cette boite qui m’avait été donné par Eolonon lors de mon arrivé dans la grande citée des vents. Je marche en réfléchissant si j’ouvre cette boite et découvre le don qui y est, je la regarde tout en ressentant toujours la brise qui me touche et l’odeur du blé qui m’entour. Je touche et sens les textures de la boite qui reste mystérieuse pour moi, je regarde devant moi et je ne vois qu’une grande roche qui porte une vue sur un lac, sur cette même roche l’on peut voir la végétation qui entour le lac et de tout les animaux qui y vivent, je m’avance vers cette roche et je mis assois, toujours avec le regard et l’esprit plonger sur cette boite.
Je regarde toujours cette boite, je décide de l’ouvrir, je l’ouvre doucement et je sens quelque chose rentrer en moi comme si une seconde force me serait attribuer. Autour de moi je ne vois que de belle couleur, je ne voie plus le lac et les herbes, je ne voie que c’est couleur, je ressent une sensation étrange comme si je n’étais plus dans mon corps, je regarde autour de moi et je ne voie rien, je ressent la sensation d’avoir été transférer dans une autre dimension, j’écoute et j’entend une voie me parler et ressent un vent toucher ma peau se vent qui me semble familier. Je plonge dans mes penser sur les dire de la voie étrange et de se qui m’arrive depuis l’ouverture de la boite. Je répondis à ce vent que le vent qui sera en mon contrôle et qui partagera mon esprit se nommera Zef. Zef le vent qui soufflera la paix et que j’apprendrai à contrôler.
Je ressens un autre choc en moi j’ouvre les yeux et je suis assis sur la roche l’ou j’avais ouvert la boite. Je regarde dans mes mains la boite n’est plus la, tout se qu’il me reste c’est le souvenir de tout se qui c’est passer. Je me lève et je me sens monter dans les airs sans même avoir donner de coup d’ail. Je sens cette force en moi et je dis ‘’Zef porte moi jusqu’au palais. Sur c’est dire je me sentis emporter, je me fessais transporter par le vent au dessus du champs de blé l’ou je marchais il n’y a pas trente minute de sella. Je me lève la tête et je vois que je suis arrivé devant le palais. Zef me déposa sur les marches de briques. Je repartis dans le palais épuiser et certitude de développer se nouveau don.